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Gaston Pietri,
L'un des signes de l'évolution des mentalités en matière de laïcité est le débat mais aussi les convergences qui, depuis les années 1980, se sont exprimés quant à la place du fait religieux dans les programmes scolaires. Le rapport de M. Régis Debray, en 2002, marque une importante étape.
Dans une déclaration du 18 décembre 2003, alors que la laïcité se trouve à nouveau au centre des discussions, il est remarquable que le Président de la République ait noté, au passage, l'enseignement du fait religieux à l'école publique comme un principe désormais acquis.
Il reste qu'aussi bien du côté de la communauté chrétienne que du côté de la société civile, un certain nombre de questions appelle un éclaircissement.
Le père Gaston Pietri fait une triple approche de ces questions qui portent en fait sur ce qu'implique la distinction entre "objet de culture" et "objet de culte".
L'un des signes de l'évolution des mentalités en matière de laïcité est le débat mais aussi les convergences qui, depuis les années 1980, se sont exprimés quant à la place du fait religieux dans les programmes scolaires. Le rapport de M. Régis Debray, en 2002, marque une importante étape.
Dans une déclaration du 18 décembre 2003, alors que la laïcité se trouve à nouveau au centre des discussions, il est remarquable que le Président de la République ait noté, au passage, l'enseignement du fait religieux à l'école publique comme un principe désormais acquis.
Il reste qu'aussi bien du côté de la communauté chrétienne que du côté de la société civile, un certain nombre de questions appelle un éclaircissement.
Le père Gaston Pietri fait une triple approche de ces questions qui portent en fait sur ce qu'implique la distinction entre "objet de culture" et "objet de culte".